Vision partenariat
IMPACTS GLOBAUX ATTENDUS DU PROGRAMME D’ACTIONS D’IAMDES-TOGO SUR 10 ANS
Ce sont les impacts globaux visés par notre plan ou programme d’actions sur 10 ans en 5 blocs horizontaux interdépendants : Atténuation : Environnement & Climat 150 ha de mangroves restaurées 100 ha de forêts communautaires protégées 150 000 plants forestiers et de mangroves plantés sur 10 ans ; 10 km de haies vives installés sur 10 ans ;: 50 000 tonnes de CO₂ séquestrées sur 10 ans. Adaptation : Résilience & Agriculture 500 ménages formés aux pratiques agricoles résilientes ; 2 500 personnes issues de 500 ménages bénéficient d’équipements énergétiques propres : 60 % des ménages ont amélioré leur résilience d’ici 2035 ; Au moins 30 % de réduction des pertes économiques liées au changement climatique d’ici 2035 ; Pauvreté & Emplois verts 500 emplois verts durables créés ou initiatives génératrices de revenus ; Réduction de la pauvreté dans les villages de 60 % à 35 % d’ici 2035 ; Augmentation moyenne de 30 % des revenus des ménages bénéficiaires ; 70 % de survie fonctionnelle des entreprises et coopératives à 3 ans après la fin du programme ; Recherche-action & Renforcement des capacités 70 % des communautés riveraines adoptent des solutions validées par la recherche de proximité ; 70 % des communautés bénéficiaires ont une perception approfondie de l’utilité de leur biodiversité ; 30 % des acteurs locaux impliqués dans les actions de recherche et de sauvegarde de la biodiversité (communautés et écoles du milieu). Institutions & Gouvernance 20 organisations communautaires fonctionnelles ; 20 leaders locaux (dont 60 % de femmes) formés au plaidoyer ; 20 actions de plaidoyer abouties ; Création d’un cadre local de gouvernance environnementale participative ; Formation et renforcement de 500 acteurs locaux (chefs communautaires, jeunes leaders, associations) ; Mise en place d’un système intégré de suivi-évaluation ; Génération et diffusion de connaissances scientifiques appliquées sur les écosystèmes du lac Zowla ; Plaidoyer et influence sur les politiques publiques locales et nationales ; Renforcement des capacités financières et structurelles des communautés et celles d’IAMDES-Togo ; À la fin des 10 ans, le CTF des projets doit être ≥ 1(financements additifs et soustractifs : FAS). Nous appelons les différents partenaires intéressés par notre philosophie de partenariats de nous rejoindre ou de rentrer dans notre cluster pour que nous puissions bien cerner les problèmes variés des communautés autour du Lac Zowla, pour un impact consolidé de long terme de nos diverses initiatives innovantes, unies par une zone commune (voir rubriques « partenariat » du site).
Contactez : Sassou Koffi B. Etchri
E-mail : info@iamdestogo.org
ajatjhatogo@gmail.com
Vision de partenariat de IAMDES-TOGO avec les organisations de finanacements des actions de développement
Il est possible de faire le partenariat pour le développement local en Afrique, autrement que d’habitude si les partenaires le veulent.
Dans cette perspective, notre Institut inspire dans sa vision de partenariat et de stratégie de financement, le mécanisme de « financement additif et soustractif ». Evidemment, une action de développement ne permettant pas aux milieux concernés de se libérer progressivement de la dépendance extérieure, pour tendre vers son indépendance financière et décisionnelle, ne peut jamais engendrer son « autonomie totale ».
Alors, tous les discours d’appropriation ou d’autonomie des actions en développement local, doivent rassurer à la fois leur autonomie culturelle, technique et financière et, par ricochet, élargir les espaces décisionnels des structures locales. Comment s’y prendre ? C’est-ce que l’IAMDES-Togo propose aux partenaires financiers qui s’intéressent à ses actions.
Ainsi, pour IAMDES-Togo, le partenarait doit commencer avant les projets dans une confiance réciproque pour permettre aux projets de tenir compte non seulement des discussions préalables sur les visions, mais aussi des éthos institutionnels dans lesquels le partenariat doit évoluer jusqu’à sa fin. Le désengagement du partenaire doit être synonyme de l’autonomie totale des actions ou des structures locales. Des dispositions pertinentes doivent être prises ou envisagées par toutes les parties prenantes dès le début du partenariat.
IAMDES-Togo propose aux bailleurs et aux fondations qui réfléchissent sur l’autonomie totale des ONG locales qu’ils financent, une vision qui aménage les actions à but non lucratif et celles lucratives dans « un système de financement additif et soustractif » (voir les pages 21 et 22 du document vision de IAMDES-Togo, 2018).
Il est possible de faire le partenariat pour le développement local en Afrique, autrement que d’habitude si les partenaires le veulent.
Dans cette perspective, notre Institut inspire dans sa vision de partenariat et de stratégie de financement, le mécanisme de « financement additif et soustractif ». Evidemment, une action de développement ne permettant pas aux milieux concernés de se libérer progressivement de la dépendance extérieure, pour tendre vers son indépendance financière et décisionnelle, ne peut jamais engendrer son « autonomie totale ».
Alors, tous les discours d’appropriation ou d’autonomie des actions en développement local, doivent rassurer à la fois leur autonomie culturelle, technique et financière et, par ricochet, élargir les espaces décisionnels des structures locales. Comment s’y prendre ? C’est-ce que l’IAMDES-Togo propose aux partenaires financiers qui s’intéressent à ses actions.
Ainsi, pour IAMDES-Togo, le partenarait doit commencer avant les projets dans une confiance réciproque pour permettre aux projets de tenir compte non seulement des discussions préalables sur les visions, mais aussi des éthos institutionnels dans lesquels le partenariat doit évoluer jusqu’à sa fin. Le désengagement du partenaire doit être synonyme de l’autonomie totale des actions ou des structures locales. Des dispositions pertinentes doivent être prises ou envisagées par toutes les parties prenantes dès le début du partenariat.